Disons STOP au plagiat.

http://www.polymtl.ca/etudes/ppp/img/PlagiatVisuel.gif

Le plagiat, un fléau qui court les halls des universités. Ce phénomène touche un grand nombre d’étudiants, qui encore aujourd’hui n’ont pas parfaitement connaissance de ce terme, ou plutôt nous avions souvent entendu dire de la part des enseignants «  tout copier, coller sera sanctionné », mais cela suffit-il afin de sensibiliser les élèves à ne pas enfreindre les règles ?

Une question qui nécessite, une grande réflexion. C’est à travers ce blog, que nous voyagerons à travers ce terme, qui paraît fastidieux au premier abord mais qui ne l’est pas pour autant.

Laisser vous emporter par les parties qui vous attendent, afin d’avoir une connaissance solide sur le plagiat et d’éviter une éventuelle   catastrophe lors de la rédaction de vos rapport de stage, ou encore des devoirs maisons.

Le plagiat, un terme méconnaissanble pour certains, mais qui se faufile dans les poches de beaucoup d'étudiant.

Le plagiat, un terme qu'on entend qu'a l'université et qui au premier abord nous ne nous sentons pas concerné par ce terme. Mais si l'on penche un peu plus sur cette notion, on pourrait en soulever une réalité, beaucoup pratique la plagiat sans pour autant le savoir.

En voici une définition, pour avoir l'esprit plus clair,

Le plagiat est le fait de s'approprier  les idées, les schémas , les recherches  d'un auteurs sans en indiquer  la source .Souvent la personne recopie à l'identique l'extrait choisit pour l'insérer dans sa propre composition .Il prétend donc avoir écrit une œuvre alors que ce n'est qu'une copie .

C'est un "vol littéraire", car en effet ce vol est passible de sanctions et est sévèrement puni par la justice.



Voici quelques exemples de plagiat :

                      ·          S'approprier une œuvre qui n'est pas la nôtre:

-  acheter une dissertation ou un rapport de stage sur les différents sites web  (dissertation gratuite ; Oboulo ; Academon…)
-  faire du copier-coller d'un texte, d'un article  sans en mentionner la source

                      ·          Ne pas mentionner les sources correctement:

- La non utilisation de guillemets lorsqu'on extrait une phrase ou un   paragraphe   d'une œuvre littéraire
- Lorsqu'on ne cite pas la source dont sont extraites les données
- Utiliser des statiques, des graphiques sans en citer la source ou l'origine

                      ·          Paraphraser:

-  retranscrire une idée sans la rendre suffisamment différente de l'originale
- développer l'idée soustraite de manière beaucoup plus longue sans en citer la source.




 

source:  http://www.bibliotheques.uqam.ca/plagiat

Les sanctions .

Le plagiat, comme nous l’avons vu dans les parties précédentes, peut conduire à des risques. Bien que les étudiants ou encore les élèves prennent ce terme à la légère, il ne faut en revanche pas négliger les sanctions que l’on peut avoir en cas d’infraction de cette règle.

Malgré l’expression redondante des enseignants « pas de copier-coller », ou encore toute triche sera accompagné d’un zéro, beaucoup encore n'hésite pas à enfreindre les règles. Ces réflexions mérite d’être appuyé avec quelques exemples de sanction afin de sensibiliser les étudiants, mais aussi afin qu’ils puissent en avoir connaissance.

Être reconnues comme coupable, entraine bien évidemment des sanctions, allant de la notation zéro au renvoie de l’université.

Mais aussi …

- Toute fraude ou plagiat entraîne une note de 0/20 pour l’activité d’enseignement concernée. L’enseignant avertit aussitôt l’étudiant et le président du jury (ou si l’enseignant est le président du jury, le doyen ou, le cas échéant, le vice-doyen).
À sa demande, l’étudiant peut être entendu par le président du jury (ou si l’enseignant est le président du jury, le doyen ou, le cas échéant, le vice-doyen).
- Si le cas le justifie et à la demande du président du jury (ou si l’enseignant est le président du jury, le doyen ou, le cas échéant, le vice-doyen), il peut en outre être fait application des peines disciplinaires pouvant aller jusqu’à l’exclusion.
- En cas de flagrant délit, l’enseignant ou l’une des personnes prévues à l’article 45 §1 al.2 et 3, est habilité à prendre toute mesure utile à faire cesser la fraude. Dans les plus brefs délais, les faits sont communiqués par l’enseignant concerné au président du jury (ou si l’enseignant est le président du jury, le doyen ou, le cas échéant, le vice-doyen).[1]

http://www.claurendeau.qc.ca/public/001c5772-6ed6-409f-bff6-11929bf9ab9b/etudiants_actuels/organisation_scolaire/images/cal_plagiat_logo.jpg

Faits réels montrant l’ampleur du plagiat.

(...)

Pour avoir intégralement copié le "projet personnel" d'une camarade de l'année précédente, M. B. s'est ainsi fait exclure, en 2003, de son université pour six mois.

Pour avoir recopié dans son mémoire des passages entiers tirés de sites Internet sans utiliser de guillemets, un étudiant a écopé en mars 2004 d'une exclusion avec sursis d'une durée de deux ans.

Une étudiante n'ayant écrit que trois pages de son mémoire de maîtrise a, quant à elle, été condamnée à un an d'exclusion de son université, en juin 2004.

(....)

Source : http://plagiat.ec-lille.fr/Amphi_Plagiat.pdf

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[1] http://www.ulg.ac.be/cms/c_480276/fr/sanctions-en-cas-de-plagiat

S'inspirer d'un document sans plagier ? Oui c'est possible

Comment s’inspirer d’un document sans plagier ?

Beaucoup, on recourt au plagiat sans pour autant être conscient de ce que cela signifie. Il s’avère important d’avoir au préalable une idée de ce mot qui pour certain peut être méconnaissable.

Wikipédia nous propose comme définition « Le plagiat consiste à s'inspirer d'un modèle que l'on omet délibérément de désigner. Le plagiaire est celui qui s'approprie frauduleusement le style, les idées, ou les faits[1]. »

En revanche, parfois, en manque d’inspiration, nous avons tendance à voyager à travers les sites web pour y trouver les réponses à nos questions. Ou encore pour appuyer nos arguments. Il est toujours plus pertinent d’avoir des arguments appuyés par divers articles ou encore des données tiré de documents

En s’appuyant sur la définition tirée du site web « wikipedia.org » on peut être amené à se demander, comment peut-on s’inspirer d’un document sans pour autant avoir recourt à ce genre de chose, le plagiat.

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S’inspirer d’un document n’est en soi pas interdit. A une seule condition bien sûr, de ne pas recopier mot à mot ou remplacer les propos de l’auteur du document en question par d’autres synonyme. En effet nous pouvons très bien s’inspirer d’un document, dont le but sera par exemple, d’avoir une idée plus claire, sur tel ou tel sujet. Tel est l’inspiration sans plagiat

Il s’agit dans les faits, de saisir le message transmis dans le document, tout en croisant ses propres idées, et en faire une synthèse avec sa propre vision. Nous serons donc dans cette optique, maître de nos expressions, mais aussi auteur de notre propre travail.

À contrario, précisons ici, dans le cadre d’un travail scolaire, ou encore rapport de stage, il n’est pas interdit de reprendre exactement, les propos d’autrui, il est du devoir de toute personne, de veiller à la bonne application de la source, et indiquer l’auteur du texte cité.

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[1] Wikipédia consulté le 30 mars 2014 ; http://fr.wikipedia.org/wiki/Plagiat

Ensemble, luttons contre le plagiat

Comment peut-on lutter contre le plagiat ?

Plagier ? Un problème récurrent qui intervient souvent lors de rédaction du rapport de stage, ou encore lorsqu’il s’agit de faire des dissertations dans le cadre scolaire. En effet il est bien plus facile et rapide de prendre un sujet déjà rédigé, un simple copier-coller et le tour est joué. Avoir recours au plagiat, l’être humain, ne fait plus appel à ses idées, ni à son intellectualité. Ce qui pourrait poser problème à long terme. En effet cela pourrait inter-sidérer ses capacités de réflexion et réduire ses capacités à rédiger sois même une synthèse. Le plagiat pourrait même dans certain cas entraîner des échecs scolaires. En effet, l’élève ou l’étudiant peut s’habituer à faire du plagiat pour les travaux à faire à la maison, pour les devoirs en classe il n’aura pas développé ses capacités d’analyse, de synthèse et d’argumentation, il aura donc de mauvais résultats.

Quels sont les remèdes à ce problème qui pour certains n’est pas en soi un problème ?

http://www.offshore-value.com/image/article/photo/fr/photo_144_89.jpg

Afin d’éviter le plagiat, il s’avère important d’avoir des connaissances sur cette notion. Si cette dernière nous est inconnu, il est toujours possible de faire des recherches par sois même enfin d’en apprendre d’avantage. Notre société ne manque pas d’outils afin de pouvoir s’enrichir en connaissance. Nous avons en notre disposition l’outil incontournable «  Internet », ou encore des ouvrages, des encyclopédies. En revanche il faut apprendre à faire ses recherches, dans de source fiable. S’informer est une étape propice à toute chose.

       En premier lieu, il appartient aux professeurs de sensibiliser les élèves sur le plagiat et plus particulièrement sur le droit d’auteur. Il est important de faire cette sensibilisation le plus tôt possible afin que les élèves s’y habitue et en face un principe, voire même une moralité. Faire prendre conscience aux étudiants que le plagiat peut nuire à leur scolarité, voir même se voir interdire d’enseignement pendant 5 ans.

      Ensuite, les enseignants peuvent jouer un autre rôle important à travers la formation des élèves. Former par exemple les élèves au travail de réécriture, développer ce sens et en faire un automatisme est un excellent moyen de lutter contre le plagiat. Autre moyen, exercer les élèves à constamment citer les sources et à la manière de les citer.

      De plus l’élève peut suivre une procédure type afin de cadrer son travail de recherche et de rédaction. La procédure peut être la suivante :

-          Avant tout travail, énumérer ses problématiques.

-          Définir précisément le sujet à traiter

-          Définir les documents qui répondront de manière pertinente à l’enrichissement de notre   travail. Lorsque l’on s’inspire d’un document citer la source, ou encore veiller à mettre des guillemets à la partie du texte copié.

-          Rédiger ses propres idées sur papier. Avoir recours à des documents afin d’avoir une idée concise et précise sans pour autant en faire du copié-collé.

 Et enfin, depuis quelques années émergent sur le marché de l’informatique des logiciels anti-plagiat. L’enseignant recopie une partie ou l’intégralité du devoir de l’élève. Le logiciel analyse le contenu et détermine à quel pourcentage il y a eu du copié-collé.[1] Cette solution est la moins pertinente et intelligente car tout d’abord elle oblige l’enseignant à jouer les gendarmes. De plus, cette solution ne traite pas la source du problème à savoir apprendre aux élèves à travailler par eux même.

Enfin après avoir pris connaissance de la définition du plagiat, des risques et des sanctions encourues, appliquer la loi sera indispensable et obligatoire car comme l’indique l’adage «Nul n’est censé ignorer la loi ».

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[1] http://www.cndp.fr/savoirscdi/cdi-outil-pedagogique/reflexion/le-plagiat-a-lecole/comment-lutter-contre-le-plagiat-a-lecole.html